mercredi 13 juin 2012

Hamburg - port de débauche


Habe ich schon gesagt, dass ich nach Dresden gegangen bin, zu studieren?? Nein. Jedoch haben wir eine Studienreise nach Hamburg gemacht. Es gab einige Baustellen zu besuchen, auf dem Weg zu Hamburg. Ebenso passiert es als in Frankreich. Erste kriegt man eine langweilige Rede, vor dem Büffet, damit die Leute hören, und sich voll nicht stopfen. Dann begeben wir uns zum Eingang von der Baustelle, um Baugerüst, Beton und Bewehrung zu sehen. Am Ende, ist man ziemlich zufrieden, in den Bus zu steigen.
Description d’une visite de chantier : on entend « ouha », « ohh » et « ahh » quand on est sur le chantier, parce c’est impressionnant, complexe et que l’on n’y comprend rien. Lors de la conférence on entend surtout « ZZZZzzzzz…. » et on voit  -_-  parce que c’est souvent long et qu’il y a plein d’informations inutiles (par exemple les chiffres de l’entreprise). Enfin pendant le buffet et les questions au conférencier c’est plutôt « scrunch scrunch » et « glou glou ».

Hambourg : que dire ? Cette ville m’a fait immédiatement penser à la chanson « dans le port d’Amsterdam » de Jacques Brel. C’est une ville portuaire importante, on y boit de la bière et on y trouve des putes. La chanson aurait pu être écrite pour cette ville. Mais on ne va s’arrêter à cette description primaire. On arrive, le car se fraie un chemin dans les rues étroites d’Amsterdam, et nous dépose devant un hôtel rénové et très moderne. La déco originale à moitié rock et jeune, le buffet pour le petit-déj, et les capotes dans la salle de bain, on a adoré. Quelques bières et chips, puis on va se prendre une pizza dans un resto au coin de la rue. La place est très sympa, baby foot au sous-sol, on y a aussi rencontré des compagnons charpentiers à qui on a offert une bière et qui nous ont raconté leur mode de vie un peu alternatif. On va ensuite trainer dans le quartier chaud, dans tous les sens du terme. 

La rue « Grosse Freiheit » abrite autant des bars, boîtes de strip-tease, boîtes de nuit, clubs et maisons closes. L’aspect de la ville qui m’a le plus interloqué est celui du tourisme sexuel, peut être parce qu’il est totalement absent en France. Il y a même une rue interdite à la gente féminine, avec des femmes de petite vertu qui interpellent les clients de derrière les vitrines. On a passé une soirée au port, à boire des bières et à papoter, et l’autre à sortir dans toutes les boîtes possibles de la rue Grosse Freiheit ! Rentrés à 6h du matin, on reprend le car à 8h30 pour 2 visites de chantiers supplémentaires, et 7h de cars… je ne vous raconte pas l’état dans lequel on a passé la journée^^

"Je sens une risée, on va lever l'ancre!"

Herbetstrasse, für Frauen verboten

Photo de légende, Beatles Platz près de Grosse Freiheit Strasse

La coloque de Cachan, présente sur le terrain




mardi 12 juin 2012

Football en Allemagne O_o


Hier betrachtet man Fußball als eine Einrichtung, eine Religion. Ich habe Stunden und Stunden in Bars verbracht, und die Inbrunst, dass ich dort gefunden habe, übertrifft was ich in Frankreich schon gesehen hatte. Ich kennte nur Bayern, von Ribery. In Deutschland entweder magst du gesamt die Bayern, oder  hasst du es. Dortmund ist sehr berühmt, die beste Mannschaft in Deutschland, und jedes Match gegen Der Bayern ist ein sehr wichtiges Ereignis.

1ère image : Soir de match, on se dirige tout naturellement vers la Neustadt, quelques bières avec soit, pour l’économie. Les bars y pullulent, et sont tous équipé de grands écrans. Institution du foot oblige. On se presse pour trouver un endroit où se nicher en attendant le coup d’envoi, qui correspond aussi au moment où le bar est plein à 120%. Un but, des cris, des bras qui se lèvent, les bières se renversent et on commente l’action. A la mi-temps, tout le monde sort s’aérer, sans craindre de perdre sa place qu’on est allé prendre une heure avant le match.

2ème image : Journée ensoleillée, hors période examens, on se rend à Grossen Garten pour jouer au foot. Le Park est parsemé d’espaces clos par des arbres, qui apportent une certaine intimité. Lorsque l’on occupe une de ces pelouses, on se sent tranquille, seul au monde, presque chez soit.  Au fur et à mesure du jeu, des joueurs viennent s’ajouter, formant des équipes un peu hétéroclites, très conviviale. Au besoin on peu trouver de quoi manger et de la bière fraiche au centre du parc...

3ème image: Samedi soir, match de l'Euro Allemagne-Portugal à 20h45. Je découvre à partir de 18h le Strassenbahn en direction de la Neustadt rempli de supporters, qui se dirigent en masse vers les Public Viewings, dont celle au bord de l'Elbe. L'ambiance est folle. Les bars sont encore plus pris d’assaut que d'habitude. Des fumigènes et des éclats pendant tout le match, notamment lors du but de l'Allemagne. Deux allemand sur trois croisés dans la rue portent un maillot, un drapeau, ou encore du maquillage de supporter. 

Euro 2012 en Pologne/Ukraine incontournable ici!!
Ecrans géants partout, même au bord de l'Elbe dans un cadre magnifique



En bon franchouillards, on tente de mettre de l'ambiance pour nos matchs

Séance de maquillage avant de se taper l'affiche sur le campus 

Italie --> épisode 2

Normalerweise, gibt es immer Ort, Landschäfte, Leute und Nahrung, die mehr anziehend als anderen sind. Die Aussprache ist auch ganz wichtig. Hier gibt es einen Beispiel: man sagt auf Französisch „Cendrillon“, auf Englisch „Cinderella“, auf Italienisch  „Cenerentola“, und alle klingen sehr schön! Aber auf Deutsch: „ASCHENPUTTEL!!“. Denn muss ich es zugeben, ich liebe alles über Italien (ausnahmsweise Italienisch Fußball, das hasse ich, keine Ursache 2006 Weltmeisterschaft), das Klima und eine Frau auch B-)
Dann ist es kein Überraschung, dass ich noch einmal nach Italien gegangen bin…


Eh oui, une semaine avec le jeudi de l’ascension, pas de cours le vendredi ni le samedi et ni le mercredi (ou presque pas J ), on en profite !
8h départ de Dresden, avec changement à Leipzig, puis changement à Nürnberg, puis enfin à München. Ayant déjà pas mal voyagé, j’ai bien évidemment suivi la règle d’or : voyager léger ! 12 heures de voyages avec 4 changements de train, ca engage plutôt à éviter la grosse valise, pleine d’affaires inutiles. Je profite de l’arrêt à München pour rencontrer une amie, Eva, qui est originaire de Bayern. Grosse frayeur en passant les cols, en Autriche, car le train est bloqué par la neige ! La frayeur est due au fait qu’il puisse faire plus froid à Trento qu’à Dresden ensoleillé que je « viens » de quitter… Frayeur bien superflue, car en descendant du train (agréable air de déjà-vu), je retrouve -1 la chaleur 2-le soleil -3 ma chérie.

 A partir de là commence une semaine de rêve, car cet endroit et ces gens n’ayant aucun liaison avec Dresden, cela fait une coupure totale avec la vie quotidienne. Que ce soit les moments de gastronomie au resto ou chez les amis, les balades au soleil, ou les révisions à deux pour ses examens (mmm), c’est du ravissement et du bonheur. Dernier évènement de la semaine, un repas en tête à tête dans un des meilleurs restaurants du coin. L’aventure commence à 19h, on me dit:
-« you had better be ready at 9, otherwise we’ll be late »
Bien sûr prêt à 21h, j’attendais toujours devant la porte de la salle de bain, mais le résultat en valait vraiment  la peine. Un peu de stresse pour le retard, et parce qu’elle conduit, mais voilà qu’on arrive à destination une demi-heure plus tard, dans un parking rempli de Ferrari et Lamborghini. Je la regarde, elle me regarde, et me demande « where can I park ?? ». Et je continu à la regarder, médusé, se garer derrière une Ferrari, en pensant très fort au conseil de mon père :
-« pour se garer, toucher légèrement la voiture devant pour profiter au max de l'espace disponible »
Une soirée délicieuse pour résumer, qui me fait alors vraiment regretter une nouvelle fois de rentrer à Dresde.

C bô l'Italie

Petit brunch sur la montagne

Résultat avant le dîner, oui ca en valait la peine <3